Encore une fille

Et voilà Kolyane... C'est la troisième petite fille née cet automne chez les papys et mamies "Croquenots" et la deuxième petite fille pour Mamie Agnès et papy Jean : elle est née ce mercredi 16 décembre et ça tombe bien, Jean vient juste de se libérer de toutes contraintes pour l'accueillir à plein temps.

Félicitons son papa et surtout sa maman qui lui a donné la vie et embrassons sa "grande" soeur qui sera contente dans quelques temps d'avoir une compagne de jeu .


PS: pour la photo, nous devrons attendre Noel, papy et mamie ne peuvent la voir pour cause de risque de grippe "hachunnènun"


Dernière minute...Dernière minute...Dernière minute....Dernière minute...
Une photo nous est parvenue par envoyé spécial :      voici Kolyane:

Coup d’oeil sur Rouen

La randonnée a démarré par le chemin des moulins en remontant le Robec, elle s’est terminée à la nuit tombée,  en longeant aussi le Robec canalisé dans les ruelles de la vieille ville, décorée aux couleurs de Noel.

Tout au long de la marche (sauf sur la fin), le soleil a rayonné sa chaleur et éclairé notre chemin .

Nos pas nous ont mené (guidés par Yves organisateur principal de la journée) jusqu’au sommet de la côte Sainte Catherine qui domine l’agglomération : on y a admiré la Seine, large et ondoyante, encore plus présente dans la Ville avec ses ponts qui l’enjambent ; comme, en aval, le Pont levant Gustave Flaubert que nous avons rejoint après une belle marche sur les quais aménagés de la rive droite: pour accéder au tablier, on emprunte (certain l'a fait) un vaste ascenseur mis à disposition des randonneurs raisonnables (on peut aussi utiliser une rude passerelle réservée aux claustrophobes et aux adeptes de l’effort maximum)

 Retour par la Rive Gauche du fleuve jusqu’au Pont Boieldieu vers les merveilles du Centre Ville que nous avons admirées sous un éclairage exceptionnel (soleil rasant sur nuage noir) : ce spectacle éblouissant nous a distrait de notre inquiétude pour la santé de notre compagnon de randonnée Michel embarqué sans délai suite à un malaise vagal, survenu avant même d’avoir pu gouter aux excellentes friandises qui suivaient un formidable couscous algérien servi aimablement « au figuier » (merci encore au syndicalisme enseignant pour l’info resto) . 

Après notre (nos) bière(s) de Noel, nous apprenions avec soulagement que notre ami avait récupéré et qu’il pouvait prendre le chemin du retour sans risque (en soirée Jean et Agnès nous informaient qu’il avait rejoint son domicile sans dommage).

Rouen, nous y reviendrons, c’est sûr, découvrir d’autres trésors

Mariage : encore un Antoine

Cette fois ci, il s’agit d’Antoine le fils cadet de Marie-Claude et Alain.

Après 18 mois de préparation itinérante sur 3 continents de notre vaste monde, Antoine et Anna se sont unis pour la vie, à Vascoeuil, il y a un mois de ça .

Tous nos voeux de bonheur aux jeunes mariés

Félicitations, à nos amis des Croquenots, Alain et Marie-Claude, heureux parents d’Antoine

Automne fécond

Et encore une petite fille dans la grande famille "Croquenots" !

Ce mois-ci, c'est au tour de Dominique et Jean-Luc d'accueillir "Louanne" leur première petite fille née le 25 novembre.

Comme à l'habitude, nous nous réjouissons de leur bonheur et nous félicitons vivement les parents pour leur contribution réussie à la perpétuation de notre espèce.

Longue et heureuse vie à Louanne !!!

Plus ou moins bonne réputation

Depuis plusieurs semaines au moins, la rumeur courait dans le groupe « croquenots » des randonneurs havrais, provoquant chez beaucoup d’entre eux une inquiétude, voire une anxiété qui allait grandissante chaque jour qui nous rapprochait de ce dimanche 15 novembre, date fixée pour notre marche mensuelle : l’organisateur,ce mois-ci, c’est Monsieur Plus et il nous concocte un parcours digne de sa réputation... et plus encore (vu que c’est Monsieur Plussss) : voila ce que l’on murmurait dans les chaumières des randonneurs du dimanche : on décrivait, avec effroi, de longs et difficiles passages de falaise dans le vent et la pluie, des franchissements de valleuses avec de vertigineux a-pic, des sentiers boueux et pentus dans les forêts profondes et hostiles : des prévisions de distances étaient lancées : 20, 30, 40 kilomètres annonçait-on ici ou là ; discrètement, plusieurs avaient approvisionné des éclairages autonomes (lampes frontales ou autres lampes de poche) prévoyant une fin de parcours à la nuit tombée.

Eh bien.... il n’en fut rien.

A peine 10 km avalés le matin sur terrain plat avec pause café et nous rejoignions Bénouville où nous attendait Madame Chapeau et son assistante pour nous servir le saumon qu’un de ses amis fécampois avait fumé pour nous ; 1 heure et quarante cinq minutes plus tard, en longeant la falaise et suivant la valleuse en pente douce, nous étions arrivés au Tilleul, terme de cette plaisante randonnée, après avoir grimpé avec allégresse un petit raidillon final pour marcheur débutant.

Et voilà comment s’est écroulée sur ce parcours doux et plaisant, une réputation bâtie sur plus de quinze ans d’organisation de "randonnées avec quelques kilometres en plus"...Un nom qui faisait trembler les plus vaillants et les plus aguerris des randonneurs, à la seule évocation des distances prévues (toujours « un petit peu plus de 20 »), a été entaché irrémédiablement par ce parcours de ce dimanche de novembre qui demeurera à tout jamais, dans la mémoire collective, le parcours d' « un petit peu moins de 20 »

Charlotte L. est née

Nous connaissons déja ses mensurations, c'est Papy Jean-François et Mamie Gisèle qui nous les ont révélées (que seront-elles à 18 ans?) en nous annonçant la naissance de leur première petite fille.

Bienvenue sur cette terre, Charlotte!

Quelle chance tu as d'avoir des grands parents tels que nous les apprécions: aimants, attentifs, chaleureux, généreux et si beaux (je parle de la beauté de l'âme, parce que pour le physique c'est trop tard!).

Les randonneurs "Croquenots" se réjouissent de leur bonheur (qu'ils partagent) et les chargent de féliciter les parents heureux et méritants

Autour du Mont Canisy

Alors, finalement, nous sommes passés à travers les gouttes sur la Cote Fleurie lors d'une agréable randonnée orchestrée par Chantal et Michel.......

Encore une fois, la météo bourgeoise avait médit sur le temps de notre belle Normandie !

Et puis, c'était un groupe d'élite (limité à 10),

ou bien faudrait-il dire un groupe 2 litres (?) : voir photo de papa








merci aux organisateurs !

D’une rive à l’autre

D’abord, il y a le soleil à chaque instant, et l’eau de la rivière si calme, éphémère miroir de la nature, et puis le bruit cadencé des avirons qui plongent et propulsent le bateau à chaque coup, et les oiseaux partout sur l’eau et sur les berges, qui jouissent, comme les randonneurs, les joggeurs et les rameurs, de la chaleur du soleil encore haut et de l’ombre des feuillages encore denses.

Deux bien belles journées que les randonneurs havrais ont passées en bord de Marne, ce premier WE d’automne organisé de main de maitre par Michel&Michelle, dont l’efficacité, la gentillesse et l’hospitalité ont été pour beaucoup dans cette réussite.

Au programme : randonnées en amont et en aval de Nogent, d’une rive à l’autre, et puis un diner musical (sinon harmonieux) dansant et joyeux dans une guinguette au bord de l’eau.
Après une promenade en bateau, plaisamment (?) commentée, nous avons pris la route du retour en Normandie en pensant au temps jadis où M Menier faisait son beurre en produisant son Chocolat, refroidi par Charles Tellier, dans sa belle usine/moulin de Noisiel, la ville où logeaient toutes ses petites mains dans la cité qu'il avait bâtie pour elles.

Gageons qu’à chaque tablette que nous entamerons, même si elle ne porte plus son nom, nous penserons à lui et à son beau moulin édifié sur la Marne.

Une rando presque parfaite

Au début de la journée, les organisateurs ont frolé la « cata » : le fauteur de trouble : un mammouth diarrhéique qui s’est répandu sur la chaussée alors qu’ils se rendaient en voiture au départ de la randonnée : arrêt brutal du véhicule, patinage intempestif des roues motrices et nettoyage obligatoire du véhicule maculé.. Conséquence de l’incident : seulement un petit quart d’heure de retard sur l’horaire prévu, c’est dire la maestria dont a fait preuve l’organisateur principal pour gérer la situation qui aurait pu être beaucoup plus dommageable pour la réussite de la journée. Il a même eu la présence d’esprit de photographier la bête malade avant qu’elle ne disparaisse, apeurée mais soulagée, dans les profondeurs de la forêt. Et, pour prouver la véracité de cet évènement que certains ont eu du mal à croire, nous présentons la photo du perturbateur pour illustrer plaisamment cette chronique.

En parlant de réussite, nous pouvons affirmer sans mentir (non plus) que tout a concouru pour faire de cette randonnée du dimanche 30 août une des plus belle et une des plus réussie de la saison.
· D’abord les conditions météorologiques favorables : le matin, un ciel un peu couvert, voire nuageux , ce qui favorise une marche rapide sans échauffement excessif; un soleil resplendissant (ou presque) l’après-midi, la température de l’air à l’arrivée sur la plage permettant à bon nombre des participants de se plonger sans trop de difficultés dans l’eau presque tiède de la Manche .

· Le parfait « timing » du déroulement de la randonnée : effacement du retard pris au départ sans que personne ne le perçoive, le respect scrupuleux de l’heure du déjeuner (prévu à 12h16 précises) laissant aux marcheurs le temps de repos nécessaire à une digestion sereine, la programmation réussie de l’arrivée à la plage de Veulette à la meilleure heure de l'après-midi pour profiter pleinement du bain réparateur .

· La beauté et la variété des paysage et des lumières tout au long du chemin et le choix d’un lieu de restauration calme, reposant, ensoleillé (sans excès), dans un jardin publique accueillant où les marcheurs ont picque-niqué, bercés par le murmure de la rivière transpente qui coulait à deux pas.

· Et enfin la bière pression, toute fraiche, dégustée en fin d’après midi face à la mer grisée sous la falaise blanche.

Elle est pas belle la vie ?

Chassé-croisé estival

Jean-François et Gisèle L. en villégiature chez Jean-Michel et Marie-Paule R. en quête de cèpes, bolets ou trompettes de la mort dans les forêts de l’Yssandonnais,

une visite de ces mêmes L. chez Gilles et Maryvonne C. pour traquer la palourde dans les vasières du Bassin d’Arcachon,

un stage de gastronomie appliquée au canard et à quelques autres spécialités corréziennes suivi par Gilles et Maryvonne C. chez Jean-Michel et Marie-Paule R. , ces derniers ouvrant une deuxième session pour Claude et Anne B. attendus fin août à Brignac-la-Plaine,

voilà quelques unes des rencontres estivales que les marcheurs avec ou sans « croquenots » ont consacré cet été à la préparation des randonnées et des libations de la saison 2009/2010.

Un bien bel été !

Prolongations à Dieppe

Pour certains d'entre nous, la marche de dimanche (12 juillet) ne se terminait pas à la prise de pression à Arques la Bataille

Une douzaine parmi nos valeureux marcheurs ont mis le cap sur Dieppe pour jouer les prolongations au Tout Va Bien le bien nommé autour de succulentes moules-frites arrosées de bières de toutes les couleurs.
Repus ils ont quand même pris la route du retour à la nuit tombée.

A la recherche de la marque rouge et jaune

La prise de conscience s’est opérée après plusieurs atermoiements, égarement de marcheurs et retours en arrière : pour suivre le chemin balisé qui mène à bon port il faut absolument repérer les balises : en l’occurrence, sur les sentiers empruntés ce dimanche de juillet, les balises c’était deux petits traits rouge et jaune peints sur les troncs des arbres ou sur les poteaux. Pas facile, en forêt, de repérer certaines de ces marques dissimulées par le feuillage ou recouvertes de mousse voire à demi effacés.

Heureusement, la pluie fine qui nous avait accompagné le matin s’est dissipée rapidement et le pique-nique a été pris à cul sec sur sur le tronc coupé d’un gros arbre (qui portait la fameuse marque), sous l’oeil de jeunes bovins peu farouches. La forêt est belle, le temps est agréable et le rythme de la marche nous laisse tout loisir d’admirer et de photographier le paysage et les randonneurs. Les derniers kilomètres (hors forêt) ont été avalés sous le soleil, sur chemin plat, à grande vitesse et dans la bonne humeur retrouvée (perspective de la pression de fin de randonnée ??), mettant fin au stress de notre organisateur, marin de son état, heureux de nous mener à bon port malgré tout, et sans rencontrer le moindre barbelé.

Epilogue marseillais: Dissolution du COVIMA

Le groupe s’est retrouvé au complet : Les 19 participants de la semaine de Marseille d’avril dernier étaient présents chez Gisèle et Jean-François, ce vendredi soir, pour dissoudre le COVIMA dans le blanc de Cassis et le Rosé des coteaux d’Aix, comme cela était prévu de longue date par ses créateurs: à la Nième bouteille, la cause était entendue et une seconde de silence fut observée par les convives qui se régalaient des nombreux et succulents amuse-gueules servis par nos hôtes.

La mémoire du disparu (le COVIMA) fut célébrée au travers de très beaux court-métrages que les convives visionnèrent, la larme à l’oeil, dans la salle à manger, avant de s’atabler pour attaquer les « entrées » préparées par les meilleurs cordons-bleus du Groupe. A l’occasion du repas chacun évoqua quelques souvenirs du séjour à Marseille : les marathoniens transis sous la pluie glaciale, les fleurs aux noms savants, le raccourci fou du Pierrier, les sentiers en pente douce de la Sainte Victoire, la bière de la Treille, cette p. de bouillabaisse , b. de m., etc... Après avoir fait fête aux tartes et gateaux préparés par les meilleures patissières de l’assemblée, les convives se séparèrent tard dans la nuit, alors que l’âme du COVIMA, comme une volupte de fumée de cigarette, s’élevait dans le ciel assombri du Havre : bonjour tristesse

Marie-Paule fête sa retraite

Un dimanche doux et ensoleillé, un barnum parfaitement installé dans un jardin fleuri, à l’ombre des cerisiers généreux, un couvert disposé avec art (une serviette bleue, un serviette jaune, une serviette bleue, un serviette jaune, et ainsi de suite...), une cuisine savoureuse et abondante, des vins raffinés et des alcools de qualité (une petite réserve sur la prune finale, peut-être...), Jean-Michel avait bien fait les choses pour fêter la retraite de son épouse et pour régaler tous ses amis randonneurs qui, pour la circonstance, avaient troqué leurs croquenots du dimanche pour les escarpins des jours fériés. C’est à la deuxième coupe de champagne (ou la troisième pour certains) et après qu’ont été engloutis mults canapés corréziens, que Maryvonne C. a prononcé quelques mots au nom de tous pour rendre hommage à notre hotesse, tandis que lui étaient remis les cadeaux communs :

et ce fut le signal pour attaquer le coeur du déjeuner qui dura tout l’après-midi jusqu’en début de soirée : il a fallu que les travailleurs du lendemain (très minoritaires, comme vous le constatez sur les photographies) donnent le signal du départ pour que Les convives, l’oeil brillant et la démarche hésitante, se séparent alors après multes embrassades et civilités. Une belle fête, fort réussie qui augure bien d’une retraite heureuse pour notre amie Marie-Paule.