Bonjour, ami marcheur

Te voilà sur « Croquenots », ce blog qui se veut le lien modeste mais résolu de notre groupe de randonneurs havrais, nous qui partageons ces moments d'amitié sportifs festifs et culturels sur les chemins de Normandie et parfois au delà.

jeudi 19 mars 2015

Un grand huit à Cany



A Cany, au départ de la marche, ciel plombé, petit vent frais : pour nous donner des forces et du courage , un café chaud accompagné d’un délicieux cake préparé par Marie-Hélène ;  et puis, en route pour le grand huit...

Durant toute la matinée, c’est sur le plateau, par des chemins monotones et dans la froide brume de l’hiver que nous avons parcouru la grande boucle du 8 ; passant par le  « bout perdu » nous sommes redescendus le long du cimetière jusqu’au Cany  et nous avons retrouvé le bourg quasi désert  où la belle Sandrine nous attendait pour déjeuner.




L’après-midi , la petite boucle du 8 , tracée en partie le long de la Durdent, s’est trouvé rallongée par certains pour pouvoir admirer de très près le Chateau de Cany et ses dépendances : une intrusion dans la propriété qui n’a pas été très appréciée de la chatelaine, nous a-t-on rapporté !!



Une dernière boucle supplémentaire, pour le fun d’une ultime grimpette en forêt, et voilà nos « forcenés de la marche » de retour aux voitures à Cany où les attendaient les « épicuriens de la randonnée » qui avaient suivi sagement le parcours programmé.


Pour terminer cette chronique, donnons la parole à notre ami Gilles :

«    Le jour de la marche de février (dimanche 15), je voulais, pour marquer mon anniversaire, offrir un pot aux Croquenots réunis pour l’occasion. Hélas, les circonstances m’en ont empêché.

Alors, puisque nous avions fixé notre randonnée ce dimanche 15 mars 2015, c’était la bonne date pour fêter l’anniversaire du premier jour, anniversaire du premier mois de l’anniversaire de ma naissance, il y a 55 ou 65 ans (à nos âges, on ne ne sait plus compter).  C’est à Cany que ça s’est passé, au restaurant « la cascade », où Sandrine nous accueillait avec gentillesse pour nous régaler:  au moment de l’apéro, toutes les femmes m’ont entouré pour me biser avec chaleur, cette proximité affectueuse et empressée provoquant chez moi qui en ai perdu l’habitude, une émotion, un trouble fugace, un sentiment mêlé, de plaisir et de douleur.   » 

 




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