Un petit tour de marché à Terrasson pour commencer la
journée du jeudi, juste après, bien sûr, une visite à la boulangerie de Brignac
(la brune ? la petite blonde ? les deux en même temps ? (que du
croustillant en tous cas) .
Quelques spécialités locales achetées sur ce marché authentique le
long de la Vézère et une visite de la vieille cité qui domine la ville et la
rivière, une petite prière à l’église, et nous filons, dare-dare, chez un
producteur d’huile de noix chez qui rendez-vous a été pris:
il nous reçoit dans son atelier au "Moulin de Maneyrol" et nous l’écoutons
avec attention, comme de bons élèves que nous sommes, quoique un peu
dissipés quand même: il nous explique et nous montre le processus d’extraction de l’huile de belles noix du pays (pas des américaines, quoique...).
Nous repartons chargés de bouteilles d’huile de noix et de
vinaigre, direction Yssandon, là-haut, tout là-haut.
Nous pique-niquons au pied de la Tour, si haute, qui domine toute la campagne et visitons le village du haut, son église et son cimetière
Pour les autres, la marche du matin fut longue et le démarrage un peu tardif mais sans trop de difficulté et bien plaisante, à ce qu’on m’en a dit.
En tout cas, le pique-nique au bord de la Dordogne fut des plus agréables dans un cadre enchanteur :
bien assis sur des tables disposées sur l’herbe verte, au bord de l’eau calme, à l’ombre de grands arbres, dans la douceur de l’automne
(en plus, à côté d’un VVF pour que les résidents d’Ayen ne soient pas dépaysés).
Nous traversons la Dordogne pour une petite visite à Beaulieu, de la Chapelle des pénitents à l’abbatiale dans la vieille ville médiévale et sa maison renaissance et nous filons à Collonges la Rouge (ne pas confondre avec le colon de Le Rouge ….
( Oui, je sais, c’est nul… excuse-moi , Yves)).
Nous pique-niquons au pied de la Tour, si haute, qui domine toute la campagne et visitons le village du haut, son église et son cimetière
(au passage nous sympathisons avec quelques touristes
hollandais venus visiter le site en
vieilles voitures de sport : quelques mots d’anglais échangés, pas beaucoup
eu égard à notre vocabulaire restreint) .
Nous nous rendons maintenant dans la vallée de la Vézère, au
Saillant, au bord de la rivière, face au
pont aux 6 arches.
Là, chacun peut prendre à loisir quelques photos d’Alain le magnifique, avant d’admirer, autres objets de reportage, les vitraux de Chagall, dans l’église du village.
Là, chacun peut prendre à loisir quelques photos d’Alain le magnifique, avant d’admirer, autres objets de reportage, les vitraux de Chagall, dans l’église du village.
Et puis « i’ faut pas trainer » :
une petite marche est prévue pour accéder aux barrages de la Vézère.
Pas facile la marche, nous ont prévenu les organisateurs : effectivement, pas facile la longue, la très longue montée dans la forêt sur un chemin caillouteux ô combien pentu ; si pentu, que les abandons se succèdent et beaucoup des marcheurs redescendent : pas facile la descente, non plus !
une petite marche est prévue pour accéder aux barrages de la Vézère.
Pas facile la marche, nous ont prévenu les organisateurs : effectivement, pas facile la longue, la très longue montée dans la forêt sur un chemin caillouteux ô combien pentu ; si pentu, que les abandons se succèdent et beaucoup des marcheurs redescendent : pas facile la descente, non plus !
Les courageux, qui s’accrochent pour aller au bout malgré
leur souffrance (certains aiment ça ,si, si !!), un peu perdus quand même, vont redescendre par un
autre chemin qui les mènera au pied du vieux pont du Saillant.
Ce soir, chacun restera chez soi et se couchera tôt pour
tenter de récupérer : demain c’est la dernière journée avec une longue marche,
prévue le matin : une boucle de Beaulieu à Beaulieu.
Beaulieu sur Dordogne où nous pique-niquerons et que nous visiterons dans la foulée ; ensuite Collonges la Rouge et demain soir, le dîner de gala au restaurant des Collines ! Bonne nuit les Croquenots…
Beaulieu sur Dordogne où nous pique-niquerons et que nous visiterons dans la foulée ; ensuite Collonges la Rouge et demain soir, le dîner de gala au restaurant des Collines ! Bonne nuit les Croquenots…
Ce vendredi matin, certains ont été dispensés de marche, je
vous dis pas comme ce fut agréable…
En tout cas, le pique-nique au bord de la Dordogne fut des plus agréables dans un cadre enchanteur :
bien assis sur des tables disposées sur l’herbe verte, au bord de l’eau calme, à l’ombre de grands arbres, dans la douceur de l’automne
(en plus, à côté d’un VVF pour que les résidents d’Ayen ne soient pas dépaysés).
Nous traversons la Dordogne pour une petite visite à Beaulieu, de la Chapelle des pénitents à l’abbatiale dans la vieille ville médiévale et sa maison renaissance et nous filons à Collonges la Rouge (ne pas confondre avec le colon de Le Rouge ….
( Oui, je sais, c’est nul… excuse-moi , Yves)).
C’est beau Collonges,
tout y est rouge même la bière.
Et on y vend aux touristes tout ce qui se rapporte à la Corrèze, aux spécialités culinaires, aux couteaux et à la couleur rouge.
tout y est rouge même la bière.
Et on y vend aux touristes tout ce qui se rapporte à la Corrèze, aux spécialités culinaires, aux couteaux et à la couleur rouge.
Il est temps de repartir vers Brignac pour les uns, vers Ayen
pour les autres, et, pour tous, de se faire beau pour le dîner de gala qui va clôturer
notre semaine au pays de nos croquenots corréziens Marie-Paule et Jean(-Michel) ; non ! Marie-Paule et Jean-Michel, c’est mieux de l’appeler Jean-Michel.
Un dîner au restaurant
« les collines » établissement renommé, situé tout en haut à
Cublac la Morétie à quelques kilomètres de Brignac et Ayen : juste à quelques
virages de distance (virages qu’il me faudra bien négocier au retour, dans la nuit,
après le repas, pensai-je, comme tous les
passagers de ma voiture qui plaisantaient pour cacher leur stress).
Un dîner de gala dans une grande salle qui nous était
réservée sur une table dressée avec soin. A peine assis, les mises en bouche pour
accompagner l’apéritif nous sont servies avec gentillesse et en abondance ;
les plats se succèdent et à chaque plat son vin.
Un quasi de veau succulent cuit « basse température » nous précise-t-on c’est le plat que je retiendrai de ce dîner qui se termine sur des toasts portés à la santé de nos amis Marie-Paule et Jean-Michel grâce à qui nous avons passé, à la découverte de la région, une semaine INOUBLIABLE : ce fut le mot de cette fin de soirée festive.
Au fait, je voulais vous dire: au retour, la voiture connaissait le chemin
et nous a ramenés aux bungalows du VVF sans problème et sans stress pour les passagers
qui n’avaient plus conscience du danger de la circulation de nuit sur ces
routes étroites et sinueuses… Allez savoir pourquoi ?les plats se succèdent et à chaque plat son vin.
Un quasi de veau succulent cuit « basse température » nous précise-t-on c’est le plat que je retiendrai de ce dîner qui se termine sur des toasts portés à la santé de nos amis Marie-Paule et Jean-Michel grâce à qui nous avons passé, à la découverte de la région, une semaine INOUBLIABLE : ce fut le mot de cette fin de soirée festive.