Le groupe s’est retrouvé au complet : Les 19 participants de la semaine de Marseille d’avril dernier étaient présents chez Gisèle et Jean-François, ce vendredi soir, pour dissoudre le COVIMA dans le blanc de Cassis et le Rosé des coteaux d’Aix, comme cela était prévu de longue date par ses créateurs: à la Nième bouteille, la cause était entendue et une seconde de silence fut observée par les convives qui se régalaient des nombreux et succulents amuse-gueules servis par nos hôtes.
La mémoire du disparu (le COVIMA) fut célébrée au travers de très beaux court-métrages que les convives visionnèrent, la larme à l’oeil, dans la salle à manger, avant de s’atabler pour attaquer les « entrées » préparées par les meilleurs cordons-bleus du Groupe.
A l’occasion du repas chacun évoqua quelques souvenirs du séjour à Marseille : les marathoniens transis sous la pluie glaciale, les fleurs aux noms savants, le raccourci fou du Pierrier, les sentiers en pente douce de la Sainte Victoire, la bière de la Treille, cette p. de bouillabaisse , b. de m., etc... 
Après avoir fait fête aux tartes et gateaux préparés par les meilleures patissières de l’assemblée, les convives se séparèrent tard dans la nuit, alors que l’âme du COVIMA, comme une volupte de fumée de cigarette, s’élevait dans le ciel assombri du Havre : bonjour tristesse
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