Dimanche 16 octobre 2016, à Houquetot.
Eh bien non ! ce n’était pas trop tôt dans la matinée
que Dominique et Jean-Luc avaient fixé le rendez-vous de départ de cette rando
du mois d’octobre 2016 .
Risque de pluie le matin, forte averse à 11h et belles
éclaircies l’après-midi, prévoyait la météo : sur le parking de la salle
des fêtes, chacun peut le constater en prenant thé ou café gentiment offert
par Dominique et Jean-Luc, les organisateurs de la marche: le temps est gris mais plutôt doux ; alors, en plus du pique-nique, on enfourne, dans le sac à
dos, les élégantes capes de pluie pour les uns, le beau parapluie pour l’autre .
Le Pays de Caux c’est plat, plein de champs et de prés où
paissent plein de vaches indolentes, bien grasses, indifférentes à nos œillades.
Petite pluie fine le plus souvent, de temps en temps un petit coup
de soleil, pour éclairer les chemins et les routes que nous empruntant,
zigzagant dans la campagne à la recherche du kilométrage raisonnable.
Midi : à Bréauté, sous un préau qui peut nous servir d’abri
pour pique-niquer, car la pluie prévue à 11h tombe plus drue maintenant : de
l’autre côté de la place, une chance ! : un café est ouvert : alors, bien assis au chaud
autour de tables, nous y mangeons notre pique-nique tout en dégustant une bière fraîche à l’abri de la pluie qui frappe les vitres.
Une heure après, retour d’un temps plus calme et plus
ensoleillé, et nous pouvons, alors,ranger les capes de pluie, jeter le
parapluie dans une poubelle et repartir, zigzagant toujours , rejoindre
Houquetot pas trop tard dans l’après-midi,.
Vous
le constatez : il est beaucoup question de pluie dans ce récit ; il faut
noter que rien ou pas grand chose n’a marqué la journée : presque passée inaperçue, l’escapade de JL et MH partis, pendant l’heure du repas, rechercher les batons de marche de cette dernière « égarés » sur le chemin ;
à peine remarqué le très beau et ô combien symbolique « quart de randonnée » métallique arboré sur son sac à dos par Daniel qui complète ainsi son équipement de randonneur émérite.
Face à ce vide cruel pour le chroniqueur, ne reste qu’un seul sujet d’intérêt sinon de passion: le temps qu’il a fait , n’est-ce pas ?
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