Randonnée à l'eau (de boudin)

Peu de participants pour la randonnée du plein été organisée par Gilles et Maryvonne C., ce dimanche 24 août...Une journée à l'image de cet été 2008: pourri.

En effet, quelque temps après le départ de Grainville la Teinturière, la pluie a contraint nos vaillants marcheurs à rebrousser chemin et le pique nique a été pris sur la table d'un café accueillant à Veulette, cité qui devait être le lieu d'arrivée de la randonnée: on tire quand même un enseignement de cette mésaventure: le sandwich est meilleur avec la bière.

Et puis, en guise de baignade qui devait constituer le final de la journée (avec la bière), les marcheurs ont plutôt pris de bonnes douches tout au long du peu de chemin parcouru.

Un deuxième enseignement en matière de génie hydraulique qu'on peut tirer de cette randonnée avortée (on parle alors d'une IVR) , c'est qu'il n'est pas superfétatoire de connaître le principe de l'exutoire pour surseoir aux inondations créées par un fleuve : pour bien comprendre la subtilité du sujet on se rapportera aux explications données ci-dessus par le professeur Michel G. (cliquez sur la photo pour lire)

Vivement l'automne !!!

En croquenots ou pieds nus

Vacances consacrées aux sports cet été pour Gilles et Maryvonne C. en séjour sur le Bassin d'Arcachon pour 3 semaines: randonnées en forêt, marches forcées dans les dunes de sable océannes, footing matinaux, une débauche d'efforts qui nécessite de reconstituer l'énergie si rapidement dépensée sous la canicule.

Les quelques images ci-dessus prouvent que nos amis ont bien assimilé cette indispensable hygiène de la pratique sportive

Des vacances en croquenots

Pour Jean-Luc et Dominique L. , le mois de juillet c'était randonnée:

Trois semaines de marche (entre autres plaisirs) sur les chemins escarpés des montagnes pyrénéennes , sac au dos et coeur léger dont un raid de cinq jours avec GROS sacs à dos qui les mène de refuge en refuge jusqu'à l'ultime étape du Bassin d'Arcachon au pays de Gilles et Maryvonne C. où ils partagèrent avec leurs hôtes (et sans maréchaussée) un pique nique à l'ombre de la pinède.

Qu'il fut doux de se retrouver en ce lieu quelques jours avant de reprendre la route du labeur (enfin, pour certains, parce que pour d'autres le labeur c'est fini !!!).